evd - deybe & soul'palace lyrics
refrain :
refrain chanté entre refrè, de ctrain de vie jsuis refait
je veux soulever des trophées, mais moi j’n’ai jamais trop fait
donc je mérite que l’on m’irrigue de toutes les richesses du monde
ce rap m’irrite, trop de vigueur, partage tristesse sur les ondes
couplet 1 (deybe) :
c’est lе bilan, presque 20 ans plus tard
le tеmps passait rare, on le passe à pera
vie lunatique comme b00ba et notre art
j’me rappelle l’époque où elle n’était qu’ivoire
elle n’était qu’ivresse et trop peu de stress
au centre de la fête, souvent seul dans ma tête
on en faisait des rêves dénudés d’amour
avenir rendu sourd quand on rêvait des sous
la vie est devenue terne, je ne compte même plus les cernes
cœur blessé par ces hyènes, je lâche une larme dans l’arène
on se voyait faire des scènes, tout plier c’était le thème
le même succès que jamel et t’oublier jamais jusqu’à ce que la vie nous sépare
rêves bloqués dans l’entonnoir mais seul le miroir peut donner espoir
couplet 2 (soul’ palace) :
c’est le bilan, j’fume trop de pilons
tu crois que moi mon passé en dit long
je repens—à tout ces bas en nylon
je revois leurs corps dans toutes ces nuits longues
jrepense à toutes ces langues déliées
l’amour m’a souvent fait délirer
lire dans tes yeux tes désirs les plus profonds
amateur jm’inspirais de cque les pros font
c’est vrai l’amour était une débauche
j’ai promené trop de mains sur des hanches
j’ai frissonné pour son déhanché
son corps contre le mien à l’instant de danser
dans ses moments je n’étais plus très sobre
je terminais dans des chambres très sombres
l’union de nos corps projetée sur le mur
nos ombres qui s’unissent et murmurent
refrain
couplet 3 (deybe, soul’ palace)
dis moi bd regrettes*tu ta jeunesse
qd ta vie se limitait qu’à sa genèse
toutes ces stories que je dépeins dans ce seize
aucun regret, je fais que vivre sans cesse
je ne compte plus les mégots de 100s
que je tasse seul quand je reste sans elle
mais désormais, je mène une vie sans zèle
parmi toutes ces femmes je n’ai pas trouvé celle
avec qui je partagerai ma parcelle
la vie se morcelle, trop peur que je meurs seul
douleur dans cœur à vif comme une morsure
certain que ma jeunesse mène à une mort sûre
sûrement un effet secondaire du bilan
le temps se consume je ne fume plus de pilon
j’ai compris que la vie n’était qu’une jeunesse longue
désormais j’renais, je me sens plus vivant
refrain
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