freestyles - mouv' rap club nrv - deadi lyrics
[paroles de “freestyles * mouv’ rap club nrv” ft. cenza, tonio le vakeso & san*nom]
[couplet 1 : deadi]
j’suis dans un trip qui lui*même est dans un délire bien à lui
dans un délire bien à lui mais bien à lui d’chez bien à lui
et rien qu’à lui mais rien qu’à lui d’chez rien qu’à lui
c’qu’est pas rien d’chez pas rien qui nuit qu’à lui*même et qui luit même quand vient la nuit
à chacun sa voie, sa voix ou sa façon d’voir l’avenir
pour moi, ce sera soit l’cannabis thérapeutique, soit l’asile
on n’a rien à voir, j’vois pas c’qu’on pourrait avoir à s’dire
mis à part “à plus” et n’plus jamais s’parler par la suite
y aura jamais plus de types à part qu’y a d’parasites
y aura toujours plus de fils de putes qu’y a d’sacs plastiques
que ceux qui s’y mеttent dans l’espoir de la mеttre à la zik’
aillent se faire empaler par j’sais pas qui qu’aurait v’là la bite
[couplet 2 : cenza]
j’retourne parmi les miens, je m’alimente
un minimum au maniement du mic, me munis de mon art
j’ai voulu faire une secte, à moi d’me sacrifier
voir mes gars friqués agripper le billet qu’on aura fabriqué
j’ai voulu… sur les p’tits du maire, t’es vert
l’uzine avec un “z”
[couplet 2 : tonio le vakeso]
pourquoi faire du bruit si j’peux t’abattre avec un silencieux ?
même les criminels, avant d’tuer, se mettent à prier dieu
j’pousse un coup d’gueule quand j’suis bourré : gérard depardieu
[?] zé pequ’ dans la cité d’dieu
j’ai la rage d’un paysan qui vient défendre son territoire
l’histoire, on la fera, mais ça sans faire la pute sur le trottoir
j’ai repris le calumet car la douleur est trop intense
j’fais partie d’la résistance, de ceux qui peuvent cramer la france
moi, ma france est colorée, mais la plupart ont l’choléra
après vous avoir dérobés, on partira tous comme des rats
la vie, la vraie, c’est pas la terre ; la liberté, c’est faire la guerre
révolutionnaire comme un black panther
[couplet 3 : cenza]
j’retourne parmi les miens, je m’alimente
un minimum au maniement du mic, me munis de mon art
j’ai voulu faire une secte, à moi d’me sacrifier
voir mes gars friqués agripper le billet qu’on aura fabriqué
putain d’sa grand*mère, j’me rappelle plus d’mon xte*te
j’m’en bats les couilles, tu vas t’exciter, j’vais t’laisser terre*par’
[couplet 4 : deadi]
non seulement t’es marrant quand tu bad et badant quand tu cries
mais t’as la sale gueule de rémy quand tu ris, tu m’fais kiffer
mais genre kiffer à un point qui ferait flipper n’importe qui
au point d’enchaîner au moins six syncopes de suite et les kiffer
à chacun ses interdits, à chacun ses vérités
auxquelles on croit comme pas permis et qu’on s’interdit d’vérifier
on a viré les chapeaux melons pour garder les bottes de cuir
et s’piétiner si bien qu’la loi du plus fou domine l’échiquier
j’ai ni les idées si claires ni clairement très envie qu’elles le soient
mes nuits s’résument à mettre en rimes le peu qu’il reste de moi
j’dois être le moins équilibré des types qu’eklips ait imité
privé d’prestation publique depuis qu’le pays est grippé
les enfileurs pro’ reprochent aux enfilés d’enfiler des gilets
mais le fait est qu’la majorité kifferait les retirer
(wow, qu’*qu’*qu’*qu’*qu’est*ce qu’il s’passe ?)
[couplet 5 : san*nom]
c’est sans jouer qu’j’vais gagner la bataille
j’suis un assassin sensible, sans cible comme un sale bâtard
tout est surfait, j’préfère aller en enfer qu’aller à zara
t*shirt, survêt’, sans chemise, sans pantalon, comme rika zaraï
toute ma vie, ni dieu ni maître, mort aux vaches et no pasarán
mais m’appelle pas “poto” ni “frérot”, encore moins “camarade”
pas d’résolution, la révolution, avant d’la faire dans la rue
il faut la faire dans la tête, c’est ça, l’adage
je trace ma route pas à pas avant que je n’me carapate
j’fais du rap qui séduira mais j’le fais pour [?]
eh, je vis pas pour les hommes, je brille pas sous les ordres
j’écoute brel de “l’amour est mort”, drive*by en caravane
le black jacques brel, le fils de jacques mes’, rabakar
amara, katana, loko et tige la rafale
j’écoute triple s, la vie de rêve, j’écoute agartha
j’écoute requiem, j’trouve pas l’sommeil, j’écoute [?]
j’écoute que faf larage, j’écoute le a*k*h
je sais qu’ça embarrasse, eh beh j’m’en bats la race
eh, trop d’rimes, quand j’m’applique, j’suis pas avare
cœur de godric, mentalité salazar
[couplet 6 : tonio le vakeso]
les cailleras sont d’sortie, bandes de bâtards
du jour au lendemain, j’veux peser comme le qatar
avec l’atmosphère, j’suis en décalage
j’me sens bien quand j’ai un gros joint d’be*her et le ‘sky dans mon verre
dieu et lucifer sont proches de nous
mais, si tu dois payer, mon pote, tu marcheras sur l’genou
j’te l’dis qu’une fois, j’ai qu’une parole, fils de [?]
le z [?] s’enfuit comme l’ovni
[couplet 7 : cenza]
j’pète le migidi*mic en migidi*nike, les mc tombent en siguidi*strike
laisse les braves esquiver la bac ; éternue, j’t’ai vu sniffer la trace
kicker la basse, vider la tasse, un coup d’marteau, j’viens briser la glace
piquer la place, on résout pas l’problème en voulant astiquer la crasse
f*ck, migidi*man, mes rimes s’écoulent par six milligrammes
prépare l’plan vigipirate, tu sens l’odeur du vinyle qui crame
baiser l’état, les scélérats, c’est fêlé, gars, baissez les bras
même leur matraque télescopique n’suffira pas à dresser les rats
j’ai mal à la tête alors, chérie, parle à la bête
y a pas d'”tralala, check”, déguste bien la banane à sec
t’as voulu faire le narvalo, mais c’est mort, j’suis venu tout saloper
tu vas galoper, si t’as mal aux pieds, va t’suicider, t’as plus qu’à sauter
j’m’en bats les, les, les couilles, flow sans limite, tu voudrais pomper sur moi ?
préparez les douilles mais, me checker, ça fait plus mal que tomber sur l’bras
j’ai écrit c’texte à la va*vite pour que t’écoutes les autres
mon rap te bouffe les côtes, tu fourres les mômes, les rappeurs schnouffent l’héro’
suce mon chibidi*chibre, j’fume mon chiguidi*sh*t
sors ma diguidi*d*ck, peu importe l’instru’, ma couille, tu sais c’est qui les kick
fais pas l’narvalo, à tiser tout seul, tu chies dans ton froc
tu t’replies dans ton bloc, à la moindre crari, tu dis qu’c’est ton pote
j’fais pas d’guiliguili, file d’ici, t’es tout riquiqui
anti schmilbl!ck, mini, veni, vidi, veni, vidi, vici
on fait des roulés boulés pour écouler, pour désaouler
t’as vu des fous débouler, chouravez mes cd si vous les voulez
j’biguidi*pète le beat, diguidi*tête de bite, beaf de diguidi*steak de rimes
tsiguidi, tsiguidi, tsiguidi, s*xes de films
j’digui*dis que d’la merde, j’biguidi*pète le biguidi*beat
diguidi*tête de diguidi*bite, ma rime casse les canines d’un biguidi*pit’
j’vois tous ces pédés qui niquent, rien n’vaut une femme, même pas technique
en minikini, ma mini mignonne dans un parc pour un pique*nique
tu veux qu’je sorte le flow qui botte le dos, qui craque les côtes et les os ?
écoutez les autres, je f*ck les faux, t’es fou, il faut évacuer le fauve
aaah, j’arrive même plus à m’arrêter, v’là la pétée
tu veux rapper ? tu vas galérer, t’es trop petit, parle à mes pieds
va t’entraîner
seul dans tes rêves, tous endettés
[couplet 8 : deadi]
(hey, wow, qu’*qu’*qu’*qu’est*ce qu’il s’passe ? grand, hey)
narvalooney tunes au côté fou si sous*coté qu’ç’en est douteux
et doté d’un côté si doux qu’ç’en est fou, le bouffe
que dali déboule chez mouv’ et tout s’écroule, écoutez c’couplet sous beuh
conçu pour tous ceux à qui on a dit qu’c’était pas fait pour eux
j’sors d’où on t’oublie bien avant d’te retrouver tout bleu
amateur de jus d’vache aux airs de sacré bouseux
force rouge est tout près, fin prêt à tous les découper sous peu
wow, qu’*qu’*qu’*qu’*qu’est*ce qu’il s’passe ?
[couplet 9 : san*nom]
deadi m’a appelé pour un freestyle, j’ai dit : “pourquoi pas ?”
j’ai regardé sous l'[?] qui m’servait d’tête
si j’avais des textes, j’en avais mais qu’avec des thèmes
et j’étais avec des potes, on faisait des fléchettes
peut*être que, pour vous, c’est l’échec
mais, moi, j’étais content, j’passais du bon temps devant des mecs amers
le rap m’a p’t*être pas permis de rendre fière ma mère
mais, être payé à faire d’la merde, c’est grave le bon plan
bon, écrire quand t’as pas d’idée, c’est pas pratique
là, j’avais autant d’inspiration qu’un asthmatique
hun, mais comme, l’ego, c’est l’avenir
j’allais faire comme tout l’monde : j’allais raconter ma vie
donc, hier m’est arrivé un truc étrange
ma mère m’a dit qu’elle m’appelait cinq minutes, ça en a duré trente
hun, j’ai fait l’amour y a exactement douze heures
c’est quand même beaucoup mieux quand j’le fais pas tout seul
cet été, j’ai découvert de nouvelles métropoles
en c’moment, j’regarde prison break, c’est éclaté au sol
mais j’continue, ça mérite un bon prix
j’regarde la définition d'”métropole”, j’ai rien compris
ah, ces derniers temps, j’ai moins d’mal à assumer qu’j’aime l’*n*l
que yves duteil et serge lama
j’suis toujours dans mes pensées
la meilleure façon qu’j’ai trouvée pour faire d’la maille, c’est d’la dépenser
demain, j’ai rendez*vous chez sony pour parler stratégie
ça m’intéresse autant qu’le sport avec des gens tétraplégiques
j’tourne un clip la semaine prochaine, j’ai pas d’idée
j’espère qu’le réalisateur sait improviser
[couplet 10 : deadi]
vos raps à deux balles ont le même parfum, m’font taper des barres comme une hyène qu’a faim
aussi cond*mné qu’un john caffey, deadi déraille à la vitesse d’un train
pas b’soin d’médecin, d’tes soins, j’détiens à la fois la maladie et l’vaccin
mon fléau fait l’effet d’un verre d’absinthe que tu bois cul*sec et digères moyen
tu pourrais finir invalide, à faire le malin face à celui qu’le malin valide
assassin linguistique, stick à la main, cannabis, file
mon côté schlague a pas pris d’ride, mérite une prime à la rime
une visite à l’asile, oui, j’ai déjà l’sourire du joker plaqué sur la face à l’idée qu’ça arrive
oui, j’milite pour l’euthanasie de ceux qui aiment pas la vie, paralysés ou pas
la matrice est tout*par’, alors pourquoi la fuir ? on sait déjà tous où tout ça va ni*f’
grand, hey, on sait déjà tous où tout ça va ni*f’
wow, qu’*qu’*qu’*qu’*qu’est*ce qu’il s’passe ?
[couplet 11 : cenza]
déboulé tout droit de l’uzine, hallucine, le signe est un fait tatoué dans mon cerveau
sur le beat, j’ai le swing, mais ma ville a le crime, ma gueule, demande à jean*pierre pernaut
sens*tu l’urine en bas de tous les bâtiments ?
[?] aussi rapidement
c’est là qu’ils t’perquis’, quand les dés*kis’ se déguisent, narvalo, t’y vois qu’du feu
c’est des pro’ du jeu, prends*le comme tu veux ou comme une salope au bout d’une queue
ces bâtards m’engrainent, m’entraînent, m’emmènent, m’assimilent sous les mers
en*d’ssous des pierres du ter*ter, autour d’mes frères, mais c’est pas c’que j’voulais faire
vous êtes “verts de rage”, j’en ai pas vu un me l’montrer
j’ai les mains dans la malle, et le mal a la mouille [?] laisse tomber [?]
tous ces pédés dans le rap qui croyaient penser savoir kicker
c’est niqué, j’allume les mille manies en un coup d’briquet
je crame l’âme, avale la vitesse, [?] dans la vie d’tess’
mais la rue t’laisse sur le pavé, l’ami, mais les mots n’enlèveront pas toute les larmes de ma tristesse
saigne au*d’ssus des [?] les politiques, les élus viennent, règnent
demande à [?] et à [?] si j’les ai pas vus courir devant l’comico
tendez la poutre car le rap est à pendre, c’est attendre et attendre pour remonter la pente
car le vide assassine, petit à petit, les gars, il est quasi l’heure
ma gueule, ma gueule, ne cherche, pas mon équipe a la voie d’la guerre
[?], vole un imper’, il pleut des sabres, on n’a rien à perdre, c’est clair
[couplet 12 : tonio le vakeso]
j’suis un délire [?] go*fast, j’ai le sourire à frank lucas
rap de bâtard, rap de bâtard, comme un coup d’schlass dans un thorax
faites pas les cons, le rap, c’est du ski de fond, j’rappe en direct des bas*fonds
j’vais les gifler, ces bouffons, j’vais leur gicler sur le front, ça fait plaisir comme avoir un plavon
c’est pas fini comme l’amour d’un mort, je sors la nuit quand les oiseaux dorment
je n’ai qu’une vie, tout pour la daronne, nous, c’est l’uzine, le z, on charbonne
je vais t’briser la colonne, boisson vodka de pologne
j’ai des potos, des givrés, sur la photo, on te rogne, j’ai des potos, des ivrognes
le sh*t est bon, c’est du népalais, on fait le mal parce qu’il le fallait
gros, fais belek, j’ai pas d’cran d’arrêt, j’veux pas finir en maison d’arrêt
à grailler des pâtes, rêver de chattes, j’vois qu’mes pensées qui s’échappent
j’veux plus de roro que l’pape, je n’partirai pas comme fabe
[couplet 13 : deadi]
baptiser n’a plus aucune importance, tout peut s’arrêter n’importe quand, la vie, c’est pas du cinéma
te dis jamais qu’y aura d’autres plans, j’gratte comme transplante et puis l’ppé*ra comme j’plante, et la prod’ prend cher
non seulement, j’en suis pas mais j’ai pas votre temps, j’suis d’ceux qui font ça comme personne et aussi comme [?]
ouais, toujours profondément plongé dans mon délire à la ghostland
[couplet 14 : san*nom]
évidemment qu’deadi va m’graille mais c’est pas grave, [?], c’est la bataille de wagram
[?] que ça tape ou ça crame sur de la drill, de la cloud ou d’la trap
z’ont toujours pas compris qu’c’était du 4×4 et que ça changeait rien, l’rap sans nous, c’est l’p*rno sans les nains
essayer d’nous avoir, ça serait comme d’essayer d’applaudir ou s’branler sans les mains
pas assez l’âge pour m’comporter comme un homme, mais bien trop pour avoir les boules
pour la mort d'[?], j’ai pleuré comme un môme ; pour la mort de johnny, j’ai repris deux fois des moules
ça rime à rien mais ça rime v’là bien, j’arrive comme céline au dîner du crif
en espérant qu’il m’arrivera rien, pour ça, je touche du bois comme jésus christ
on fait ça facile, pour nous, ça équivaut à jouer à la belotte
enfin, même plus encore, j’ai jamais su comment on jouait à la belette
mais, si, un putain d’jour, de ma vie, j’fais la vedette
tire*moi la joue comme la meuf des [?]
c’est pas fini, ça va être un festival, ça va si vite, comme une voiture de keuf qui crame
j’aime le p’tit bruit que font leurs jolies têtes qui craquent, comme celui d’un vinyle ou d’une paire de fesses qui claque
harakiri, j’suis sûr [?] en équilibre, on verra c’que t’esquivera
j’suis [?] et t’es [?], j’suis enfer en tacchini, wow, deadi, j’ai aucune idée d’c’qu’il s’passe
[couplet 15 : deadi]
plutôt rester à la traîne que d’me faire traiter d’tre*traî ou même de traîner du côté d’où j’traîne
tout c’qui m’adoucit rend ma douce vert, depuis l’jour où j’ai rencontré la gelato, j’ai la toux d’serge
l’héritier d’un san*nom écarlate et la bouche sèche, plutôt [?] que d’écouter c’que t’écoutes
t’as les coups d’blues de bernie, j’ai ses coups d’pelle et mets des coups d’batte à tous ceux qui jouent les clowns, bref
vous êtes tous mal, [?] tout s’paye, tout s’mêle, rouges ou pas, on finira tous pâles et tous raides
good bye, pit’ ou pas, tout s’brade, plutôt y passer que d’passer pour l’best
prions pour que mon côté bat les couilles tienne, quitte à passer pour un taré où qu’j’aille
quitte à [?] côté bat les couilles gagne
[couplet 16 : cenza]
ils veulent parler de rap ou de trap, ils ne feraient même pas la différence entre les deux
j’prends n’importe quel beat et j’le râpe, je t’ouvre le point vital entre les yeux
peu importe le flow, il me correspond, la trap n’a rien inventé, oh, t’es con
obligé de leur rappeler d’où [?], faites pas [?], j’ai haussé l’ton
j’emprunte le flow de cleveland pour démarrer ce texte en beauté
tous les styles de rap ont déjà existé, c’est juste qu’ils étaient démodés
peu importe le flow, il m’envahit, le rythme est le rite, je prends partie
seule la mélodie me rend actif, j’ai pas [?], je l’ai dans l’calcif
donne*moi du flow, j’vais leur montrer, ils commencent à m’énerver à raconter
que de la merde, ils n’y connaissent rien, on l’sait, mais quelle bonté pour moi de les faire tomber
aucune limite ne pourrait exister à mon égard, j’touche tous les extrêmes opposés sans faire le grand écart
pour moi, chaque note jouée est une percussion, j’fais danser les breakeurs même sans faire du son
tu prétends qu’le bpm définit le revers de ma veste, j’vais t’prouver l’contraire
si l’rap était seulement celui qu’tu connais [?] j’pourrais être son père
me faites pas croire qu’le rap à l’ancienne était plus conscient qu’le rap d’aujourd’hui
j’vais t’rappeler c’qui marchait et c’que, toi, t’écoutais, oui, bien avant qu’tu commences à faire crari
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