medley expansion - daar inc lyrics
pt. i
[couplet unique]
tu parles des states on est d’jà là bas
j’écris des 16 avec gabawa
j’aime l’herbe et pas l’avoine, la rime de balavoine
devenir monarque comme le maharadjah
des grosses coupures, pas de sparadrap
j’allume un pet dans un bar tabac
j’aime voir andromède, donc la rando m’aide
j’gare la rangerover dans ma barraca
un coeur qui bat sous la carapace
j’détaille la quête dans la caravane
bébé faut pas t’en faire c’est le paradise
j’irais te décrochеr la lune à la nage
des étoilеs de mer et du calamar
je la prends en bouche comme un malabar
je m’en bat la race si tu paraphrases
t’es pas à la page et moi à la plage ya
gare à toi, katana, j’arrive à 3 mille à l’heure, j’envoie ton équipe à la casse
à la base j’fais pas du rap pour les admirateurs, mais des gars qui savent et pas qui maquillent la peur
t’es dans la mire de mon collimateur, chemise à fleurs, j’suis l’organisateur
t’es sous les flots comme à palavas, à la masse car t’as la carrure d’un amateur
oui, calomnies, j’écris mes textes et ma salope rime
on colle un gun à ta carotide si tu parles aux flics ou aux salauds d’snitchs
j’ai les outils j’ai la panoplie, le ventre plein et la sacoche vide
j’transforme en studio la salle d’ordis, j’vais à l’exam et j’ai pas dormi
alors oui, je raconte ma vie à travers de la sique ça te paraît magique
le flow d’alakazam et des marées m’habite, si tu veux l’éviter sors ton parapluie
sous la pluie je rentre à la casa on verra plus tard si tu veux mon avis
faut démarrer la jack ou la ferrari et l’nuage de fumée s’échappe par la vitre
t’as le karma gars, j’fais du krav*maga
le rap jeu ici c’est le carnaval
je t’écrase le crâne et je crame la cave
je prendrais l’ascenseur si j’me barre à cannes ya ya
t’es malade toi moi, j’suis maladroit mais j’ai du mal à croire que tu m’ballade
wesh, t’es malade toi, ha
[outro]
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
si jdois la mouiller j’retourne pas ma veste
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
pt. ii
[intro]
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
c’est la psy qui m’parle et pas l’inverse
si j’dois la mouiller j’retourne pas ma veste
si j’sors de ma chambre j’esquiverai pas l’averse
[couplet unique]
c’est la psy qui m’parle, on fait l’expansion
si j’arrête c’est la paresse (cho)
si j’arrête j’aurais pas d’rédemption
tu parles mais t’es mal à l’aise dans l’fond
donc j’gratte des proses j’fais des placements
j’graille des pastas oui c’est mon passe temps
tu connais l’prix si tu pars sans
payer, j’t’envoie des boites de pans*m*nts
j’apprends des kanjis, j’laisse sonner sur la messagerie
toujours le style quand y’a le danger ou quand je mange le plat de sanji
on a grandis dans les sentiers, on m’a planté sans plaisanter
j’dis la vérité sans emoji, si tu fais l’fou man prends la sortie (wow wow)
j’suis dans ma bulle comme zamdane
faire ce qu’on aime ouais c’est ça l’bail
qui sait où s’cache lezarman ?
zarma t’es dans la merde t’as le karma
back in the days à la arma 3
mes soldats garderont l’arme à droite
qui manipule les hormones (hein)
on t’a flingué toi t’es maladroit
brr ratata, j’envoie m*st*rball sur ratata
et je perds mes vie car j’attaque pas, plus la partie comme de par hasard, ya ya
va voir si j’y suis par là bas, dehors j’ai gilet pare*balles
toi tous les jours t’es pas d’attaque, et ton équipe est patatraque
mes textes ont lectures équivoques, et puis f*ck si on m’delete
ou m’félicite genre c’est si propre, rap illicite tah mes lyrics, j’le sors avant l’équinoxe (baw)
j’graille des crochets, des kellog’s bowl
j’me sappe bien, j’ai dégaine hors style
j’gratte des thunes, des lexiques ostud
j’suis un mec en or mais qui bosse pas
même stone j’ai le style de stalone, on crache le feu comme à salem
j’finis le jeu, l’ender dragon et j’suis même pas à court d’haleine
j’vais chez simon et j’pionce (pas mal), ma vie c’est une épreuve
qu’on m’impose des réponses, c’est hors de question (nan nan)
j’recompte les morts comme aniki, toutes ces salopes s’font arakiri
tourne pas ma veste comme anakin, le geste est dans le caractère
prépare tes armes, j’vais t’attaquer, j’connais tes infos grace à kelly
elle m’appelle donc j’éteins ma télé, et j’la ken sur le canapé lit
t’es plutôt mesquin, j’ai la gueule de bois, j’vais pas voir un médecin
j’ai des papillons bloqués dans l’intestin, c’est facile de s’faire mal mais j’ai du mal à faire simple
je cherche la réalité dans la matrice, ou bien trinity mais y’a que des amatrices
pour s’évader tu connais la formule : teille de raisin, raisine de cannabis
hey ya
[outro]
bruits d’une discussion par messages
pt. iii
[couplet unique]
sans l’rap, je serais déjà mort a l’heure qu’il est
comme harold smith dans ses orchidées, eh
j’m’en bats les couilles, j’laisse mon coeur guider, eh
m’libérer du mal des sortilèges
j’connais ma ville, j’veux pas visiter, nan
j’tire dans le vide, j’ai pas visé des gens
désolé si des balles perdues vous shootent
et tout foire quand je guide, j’ai du mal à maîtriser mes plans
j’écris des chansons pour les gens seul
mais les gens sont terriblement sombres
eh ma ville en cendres
eh que des mensonges
eh eh
j’suis dans le son
ou dans mes songes
rien de prévu si demain change
dans tous mes textes pas de message
et dans mon siège moi je m’enfonce
à tes côtés j’ai trouvé ma place
à t’écouter j’ai perdu ma trace
avec hôtesses j’ai peur de me trouer, m’écrouler
j’ai douté, j’ai coulé donc j’ai bu la tasse
eh j’crois qu’j’suis doué
mon âme est clouée et rouée de coups
alors j’ai cru en nous à m’en tordre le cou
et me nouer, j’étouffe, mais quelle cruelle impasse
la masse de spleen sous l’parasol
le masque de ski c’est un aquarium
j’disparais, j’ai gratté même pas 10 barres
mais si j’pars y’aura pas d’album
j’te décrocherai la lune en cas d’éclipse solaire
j’t’écris des poèmes épistolaires
j’ai fait des beaux rêves et des crises de nerfs
y’a plus que des flaques, des étés tristes, tonnerres
desfois j’en ai marre du son, desfois j’en ai marre de ma vie
tout seul à la maison je voudrais quitter le navire
yeah on navigue, hey on va vite
on s’abrite quand ça vire de bord et on chavire (plouf)
seul devant des stupas
j’ai déjà repris des stups et
j’me sens stupide de r’tomber dans ce truc là
ça t’embête mais dis moi qui m’a stoppé ? eh
je m’invente une relation
j’suis tout seul chez moi j’ai mangé 2 rations
j’fais que m’lamenter j’ai écris aucun son
comment m’racheter dans un corps en location ?
oui j’pouvais le faire mais j’rate les occasions
mon inspi s’envole en évaporation
les dés sont jetés, moi j’ai fait trop d’actions
est*ce que j’verrais l’bonheur dans une ovation ?
hey hey hey
pt. iv
[couplet unique]
son regard a changé depuis qu’elle connait ma peine (hey)
du mal à manger comme tous les jours de la semaine
envie d’tout lâcher de m’jetter corps dans la seine
je change le décor dans la même pièce en m’remémorant la scène (hey, pareil)
y’a plus que mes chats qui m’aiment
ou bien me portent un peu d’intérêt
j’rap comme si j’étais jamais dans l’thème
quand j’passe toutes mes journées à l’intérieur
y’a l’soleil qui brille dehors…
faut qu’j’aille voir la ville dehors…
j’disperse ma vie dans du relationnel
j’porte des écouteurs et j’mets aucun son (hey)
j’ferais tout pour pas manquer l’occasion
je cherche ma vocation, j’ai toujours pas sommeil
mon amour pour elle est inconditionnel
j’veux plus jamais tenter d’remplacer quelqu’un
tu sens la chaleur s’enfuir quand l’brasier s’éteint
pour écrire ma peine j’ai dû l’additionner
des gens me parlent, j’en ai raf
quand on prend de mes nouvelles ça m’véner
besoin de ralentir j’accélère
j’reste dans le noir jusqu’à que la salle s’éclaire ya
si j’y crois pas je serais moins déçu
qui va panser mes blessures ?
qui va enfin m’adresser des excuses ?
elle c’est l’olympe et mon coeur c’est le vésuve hey
beaucoup de sentiments dans l’odorat
tej’ tous mes centimes dans l’eau de l’arve
j’aimerais vraiment visiter l’au*delà
les nuages dans ma tête n’ont plus trop de larmes
le goût du sel et la couleur du ciel
ont fait qu’j’ai vidé mon zèle durant 2 années
tu m’a fait du mal, tu m’a déçu
je t’ai fait du mal, j’en suis désolé… (désolé)
[pont]
y’a l’soleil qui brille dehors…
faut qu’j’aille voir la ville dehors…
faut qu’j’aille voir la vie ailleurs…
qui rendrait ma vie meilleure ?
heey
[refrain]
même avec toi j’me sens seul
j’sais pas si j’suis d’ceux qui s’en sortent
routine monotone ma bo c’est une musique d’ascenseur
même avec toi j’me sens seul
j’sais pas si j’suis d’ceux qui s’en sortent
routine monotone ma bo c’est une musique d’ascenseur
heey
[outro]
vocalises
pt. v
[couplet 1]
j’voulais qu’on soit sous l’parasol
mais là j’ai juste le barreau seul
dans ma chambre…
je crame du chanvre et ça m’rend paresseux
j’suis pas heureux
depuis qu’j’ai compris qu’tu t’sers de mes sentiments
j’te parlais gentiment
car y’a qu’avec toi que j’me sens vivant, ya
et j’me sens seul comme un 14 février
je m’enferme et j’écris mais penser à toi me fait vriller
je recherche la lumière dans un trou noir, laisse moi m’éclipser
j’me laisse emporter par le mal sans vouloir résister
[couplet 2]
j’ai le cerveau qui vibre quand sa voix m’ensorcelle
dedans j’me sens vide je recherche encore celle
qui peut la remplacer, tu peux t’mettre à chanter
tu peux t’jetter dans l’vide, ça change pas le passé
hier j’ai vomi, j’ai repensé à elle
on dit qu’ça va changer, pour l’instant c’est la même
j’pensais avoir enfin trouvé une fille saine
les relations des autres sont trop superficielles
kagune de feu quand j’ai l’oeil écarlate
mes larmes ne veulent pas dire que j’ai la haine
ce monde est cruel j’vais pas donner la patte
n’viens pas toquer ma porte, j’veux pas t’donner ma peine
j’porte une atelle et j’regarde plus mon tel
lour n’plus voir les “je t’aime” que tu n’m’envoies pas
ta douce mélodie n’est plus dans ma voix
je te montre les étoiles mais tu n’en vois pas
[outro : bttf i]
“* what are you writing ?
* uh, stories… science*fiction stories about uh… visitors coming down to earth… from other planets…
* get out of town ! i didn’t know you did anything creative. hey, let me read them !
* oh no, no, no, no! i never… i never let anybody read my stories…
* why not ?
* well, what if they didn’t like them, or what if they told me i was no good ?”
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