tokyo paris - cookiesan lyrics
[refrain : cookiesan]
on veut être les gars sur qui tu paries
que tu viennes de madrid, tokyo ou paris
que le foule en face applaudisse comme otarie
(pipilipipilipipipi)
quand j’appelle aux mugiwaras, mes potes arrivent
on a mis [?] qu’est*ce qui t’arrive ?
ouais t’as fait ci, t’as fait ça mais c’est ta eiv
(tatalatatalatatata)
[couplet 1 : cookiesan]
j’me suis fait tout seul et j’ai peur de dégager
appris la chorée sans faire l’tour de pékin
un million de problèmes alors qu’j’en attendais qu’un
pourquoi tu me dis je t’aime alors que t’as pas le béguin ?
j’ai le m sur l’front
roy mustang
efficace est ruud van nistelrooy
j’ai pris des larmes aiguisées quand on m’a fait la bise
ca va mal et tu sais quoi ? ta crise, j’m’en cogne
j’suis avec n’igmatik, namek is magic
j’reste dans l’ombre, comme allié d’lunatic
colossal quand on marche sur oit
tête chercheuse, t’es dans le viseur du swag
mon squad, mon squad, squad dans le top
pour nous faire, il faudra plus que pompes, abdos, squats
et j’ai mal aux épaules à trop porter l’époque
on va parler manga ?
allez donnes ton snap !
et petit à petit, j’fais d’mes sons des be*tus
et j’prédis la quiétude après m’être battu
j’marque en finale, j’suis petit et têtu
j’te dois rien, y étais*tu dans le noir avec moi quand j’ai titubé ?
l’épée d’excalibur attend qu’j’arrive
que le vieux kaïô libère le potentiel
cheveux jaunes, j’attends la forme ultime
j’ai un flow de batard, j’suis le perfect cell
(yo, yo)
[refrain : cookiesan et nass n’igmatik]
(pipilipipilipipipi, eh oh, eh oh, tatalatatalatatata)
(pipilipipilipipipi, eh oh, eh oh, tatalatatalatatata)
on veut être les gars sur qui tu paries
que tu viennes de madrid, tokyo ou paris
que le foule en face applaudisse comme otarie
(pipilipipilipipipi)(eh oh, eh oh, ouais oh ma gueule)
quand j’appelle aux mugiwaras, mes potes arrivent
on a mis [?] qu’est*ce qui t’arrive ?
ouais t’as fait ci, t’as fait ça mais c’est ta eiv
(tatalatatalatatata)(wesh n’igmatik, eh oh, eh oh)(j’arrive, j’arrive)
[couplet 2 : nass n’igmatik]
quand j’dis que j’aime le cookie, j’parle pas de gâteaux, j’parle de mon feat
de là*haut j’vous vois tous petits
perché sur l’épaule d’armin, shingeki no kyojin
on rappe en jogging ou en jean
intelligent comme shiniji
confonds pas le j*pon et la chine
j’ai toujours aimé l’rap et
les mangas du j*pon
toujours aimé frapper
les dribbles et les grands ponts
j’ai souvent dérapé, j’ai souvent dit “katōn” alors que c’est “katon”
le feu du dragon
dragon ball, quelle époque de ouf !
on voulait cheveux, on voulait la grosse touffe
bulma et chichi c’était pas des vieilles pouffes
les sayans m’ont transmis leur amour pour la bouffe
bouffer des scans à devenir boulimique
faire des débats qui deviennent politiques
goku les bat, logique !
“et luffy en haki des rois ? ”
“oh sh*t ! ”
no game no life
comme sora eiichiro j’vois des fantômes
le bon vieux ichigo
j’aime les formes de diane et de jirô
comme à l’aéroport entre les quais (oh)
[refrain : cookiesan]
on veut être les gars sur qui tu paries
que tu viennes de madrid, tokyo ou paris
que le foule en face applaudisse comme otarie
(pipilipipilipipipi)
quand j’appelle aux mugiwaras, mes potes arrivent
on a mis [?] qu’est*ce qui t’arrive ?
ouais t’as fait ci, t’as fait ça mais c’est ta eiv
(tatalatatalatatata)
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