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buzzer 15 - cez (fra) lyrics

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[paroles de “buzzer 15”]

[intro]
c.e, c.e
tu consommes tellement, on dirait qu’t’oublies ta quinzaine
ouais, ouais

[couplet unique]
tu consommes tellement, on dirait qu’t’oublies ta quinzaine
c.e, c’est pas la même, en plus là c’est l’quinzième
j’reviens fort, il m’reste encore des trucs à faire
j’veux plus m’voir dériver, j’te jure, pour ça, j’fais des efforts
si on m’avait dit que c’que j’faisais pour rire me ferait pourrir
j’aurais jamais commencé et j’me ferais plus rare
la ‘sique, c’est pas la vie, wesh mon frérot ressaisis*toi
la zup, c’est pas la ville, ça peut t’laisser dans d’sales états
j’avais des choses à dire, j’ai du m’auto*censurer
à les écouter, ces menteurs, ils ont déjà tous vendu sereins
j’vais pas serrer, j’commence à avoir une vie stable
tu dirais qu’t’allais mieux le jour où j’ai calmé ma vista
t’es dans l’vice toi, moi aussi donc j’vais pas t’juger pour ces faits
bientôt le 16, envoie l'[?], ça va trop vite, c’est fou
merci aux vrais qui suivent et à ceux qui m’entourent
j’compte même plus l’nombre de fois où on m’a dit : “c.e, bientôt c’est ton tour”
j’suis pas un chat, j’ai pas sept vies
y aura pas quarante mille chances, il s’est passé un truc de fou, j’étais fonce*dé, j’ai pas suivi
il m’parle de valises, de toussi, import, export, tout ça
il vaut même pas une taffe et si j’lui laisse, j’suis sûr qu’il va tousser
j’me rappelle plus vraiment des liens qu’on avait tissé
mais je sais qu’t’es un bâtard et que j’aimerais bien t’voir danser
faut compter sur personne pour pas finir déçu
j’peux pas tout t’expliquer donc j’te l’fais en condensé
ah ouais, c’est lourd ça, dans l’équipe y a pas d’lehssa
eux, ils s’raient prêts à vendre leur maman pour un quart de laire*sa
un jour, j’vais craquer, j’vais m’barrer vivre en autarcie
un jour, j’vais croquer, qui sait, j’serais riche comme omar sy
au bigo, on m’harcèle, on m’demande c’est quand l’projet
on m’demande si j’prends des tales, ils veulent savoir si j’me projette
la vérité, c’est que moi*même je sais pas
il m’parle de sa guerre de buzz, j’pense à la santé d’mes semblables
y a des choses plus importantes que l’million sur youtube
genre le sourire d’ma mère et d’savoir qu’j’suis pas dans la dure
j’rentre à pas d’heure, j’vois l’gardien qui sort les poubelles
il a capté dans mes yeux que j’me levais pas pour aller khedem
dans la zone, y a des albanais, des russes et des ritals
si t’as voulu m’mettre des douilles, fais gaffe à tes rotules
le pire état, c’est quand tu sais qu’t’as raison mais qu’ils font les sourds
regarde bien c’que fais ta sœur avant d’nous parler d’beretta
j’suis vers le 8, j’passe chez l’ancien, j’vais boire un thé
j’veux savoir c’que c’est l’bonheur, j’veux pas connaître un bon rrain*te
les problèmes, ils m’ont suivi, la plupart m’ont attrapé
les autres, ils ont bougé mais ils m’ont dit : “la prochaine, on t’ratera pas”
j’suis en pétard comme gohan, comme dans l’épisode contre cell
sauf que moi, ça finit mal et moi y avait pas d’mise en scène
ah c’est chaud, on peut pas connaître l’avenir
la première fois où j’ai tiré une barre, j’l’avais pas senti v’nir
j’suis pas un virtuose, j’suis juste une galère de plus
si j’réponds pas à ton appel, c’est pas un problème de plus
j’pouvais pas m’faire éteindre quand j’ai vu des gens remplis d’soucis
écouter les miens et arriver à m’redonner l’sourire
les gens comme ça, c’est rare, faut savoir compter sur eux
même si nos chemins s’séparent, j’oublierais pas, c’est trop précieux
train d’vie est oppressant, j’deviens fou comme un haut placé
dis*toi qu’même maupassant, frère, il était sous opiacé
j’suis pas une hit machine, j’suis un écorché vif
parfois, y a pas d’écart de taf mais y a un écart de chiffres
j’suis comme un plav’ de chanvre, à la limite d’être légal
c’est pas le sport de chambre qui m’fait triker, c’est les tales
que j’élabore des trucs de zinzin dans ma tête
j’peux pas tout t’dire sur l’b15, j’vais mettre le reste dans la ‘tape
olala, c’est trop simple, j’pourrai rapper une heure cinquante
faire le tri dans toutes ces ‘tains*p, pour plus qu’le bonheur s’inquiète
j’ai pas eu l’temps d’avoir la côte, ils étaient déjà sur mes côtes
qu’est*ce tu racontes, à peine ça grésille, tu m’fais l’bandeur sur écoute, putain
t’as pas mis d’coups d’couteaux ni d’coups d’cross
si tu finis au shtar, toi, c’est comme rick ross
o.k, c’est terrible c’que j’leur envoie, c’est tordant
à par pour un feu et des feuilles, impossible d’être perdant
si tu fumes à côté d’une daronne dans l’tram’, ça t’met des sifflantes dans l’crâne
le respect, c’est important, j’attendrai pas le “prêt, feu, partez”
que j’enchaîne les faux départs
on fait partie d’la séquence, occultés par des faux débats
pour c*n*liser un gueush, en vrai, il suffit d’un bout
parfois, j’suis trop à l’ancienne, limite, mon son, il t’fait daber
j’suscite un peu d’étonnement, on sait pas trop où m’caser
j’traîne tellement avec des gens rien à voir, même moi j’sais plus où m’placer
j’veux pas faire l’mytho basique, j’avais un train d’vie d’cauchemar
plusieurs fois, ça m’a testé en ville parce que j’faisais du rap
mais c’qu’ils comprennent pas ces gens*là, c’est qu’j’fais pas d’biff avec
c’est juste une addiction, un peu comme la cigarette
j’suis sous quarante degrés, pourtant j’ai pas bougé de lyon
lui, il veut carotte des grands, il est matrixé par l’million
là, c’est l’b15 en pétard, c’est pas pour les têtards
j’souhaite la réussite à tout l’monde, même à ceux qui m’la souhaitaient pas
c’est quand qu’on prend notre part ? ça fait longtemps qu’j’attends
j’pensais d’jà à l’attaque, j’avais même pas fini d’défendre
j’écris en automatique, wesh l’ingé’, ça fait combien d’minutes s’te plaît ?
quatre minutes
vas*y, faut que j’pense à m’stopper
là, j’pète tellement la mort, j’pourrai refaire le monde en si
les vices sont condensés, pour t’niquer, il faut moins d’un [?]
chaque détail a son importance, encore plus si tu débites
y a que dans l’fond d’mes pensées que j’me sens bien, que j’me sens libre
si demain, j’fais des vues, ils viendront m’serrer la main
ils gratteront sûrement des pub’ pour me tailler dès l’lendemain
c’est ça qui dégoûte, les profiteurs et les hypocrites
j’ai vu d’mes propres yeux des rats qui s’filaient pour un feat
et en fait pour info’, moi, j’en ai jamais r’fusé
mais la seule fois où j’vais dire non, c’est elle qu’on va m’rappeler
suffit d’une étincelle, suffit d’une braise
pour voir des frocs baissés, des retournements d’veste
il m’joue l’tueur mais c’est pas pareille sans cess’
moi, j’envoie qu’des bonnes notes, pelo, rajoute un 4 au 16
[outro]
ouais, ouais
là, c’est l’b15 en pétard, c’est pas pour les têtards

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