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le froid - c o c o (fra) lyrics

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[paroles de “le froid”]

[couplet 1]
l’émotion dans le froid, le menton dans la jacket
des remords et d’la culpa sous la plaquette
j’retiens ma force dans les coups, j’rentre dans ma cachette quand je cours
après l’temps, l’cd toujours rayé sous la ja*a*aquette
enjoliveur abîmé, clio 2, je tousse
le froid, les corps alignés, pressé sur le trottoir quand je double
la ville, elle pourrit, dans mes yeux, la folie touche
la ville a froid, elle sourit moins qu’les p’tites putеs à la folie douce
le blanc dans lеs yeux vide, le banc d’en face est gelé
j’ai les doigts colorés d’sh*t, le ciel est gris, le cœur est scellé
le bruit sous les chaussures, le goudron noir, laisse aller comme un signe
arrête tes conneries, tu s’ras triste comme une fleur fanée, j’ai
j’ai compris, j’suis rien d’autre qu’un élément dans l’tableau
les cartes du tarot, rien de mal, des fois, j’suis paro’, c’est pas grave
le gel sur l’carreau comme les pensées qui me taraudent
pas encore libre tant qu’c’est pas moi qui donne les taros

[refrain]
les gyros s’allument et les images, elles se précisent
le virage tourne et c’est là qu’l’avenir, il se dessine
et là, je tourne la tête et j’attends qu’mes frérots se décident, un peu
un peu d’or dans les mains, les regards qui se résignent
enfin dehors, les bâtiments s’éteignent
je suis dans la ville et il fait froid quand je sors
enfin dehors avec des cernes un peu creusées par la ville
les deux pieds dans le vide
et quelques blessures dans le corps
[couplet 2]
tu, tu t’inquiètes pas tant qu’c’est pas toi qui prend tarif alors
j’écoute plus c’que tu dis, mais quelques larmes me tarissent et puis j*
j’écoute c’que mon cœur me dit
tant qu’je suis pas riche, faut qu’la maybach fonce sur paris remplie d’plus de cash que paris
le dos courbé par le poids des choses
et les poches remplies d’or jusqu’à c’qu’le vent les prennes, et les fauche
même les perles, l’or, les jolies pierres sur la montre, c’est des fausses
les gens se perdent, se cassent, se vendent, se jettent, se détruisent pour les autres
et j’dénonce rien, j’ai aucune part à prendre et j’saute sans parapente
la forêt brûle, y a plus rien que j’peux faire, y a plus rien que j’peux donner, j’ai dit :
“t’façon, tu verras, un jour, l’orage, il va donner et la ville, elle s’arrêtera peut*être, deux*trois sirènes vont sonner”
mais dans l’fond, le mal, j’le ressens, il me blesse, et ça, j’le mets dans l’son
la pente, je descends sans les freins et même sans prétention
faut qu’le ciel coule sur ma peau quand ça m’paralyse
il m’faut une tisane fleur de sureau qui me c*n*lise

[pré*refrain]
les gyros s’allument et les images, elles se précisent
le virage tourne et c’est là qu’l’avenir, il se dessine
alors, je tourne la tête et j’attends qu’mes frérots se décident, un peu
un peu d’or dans les mains, des regards qui se résignent
enfin dehors, les bâtiments s’éteignent
je suis dans la ville et il fait froid quand je sors
enfin dehors avec des cernes un peu creusées par la ville
les deux pieds dans le vide
et quelques blessures dans le corps
[refrain]
enfin dehors, les bâtiments s’éteignent
je suis dans la ville et il fait froid quand je sors
enfin dehors avec des cernes un peu creusées par la ville
les deux pieds dans le vide
et quelques blessures dans le corps
enfin dehors

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