clair/obscur - billy kosmos lyrics
[paroles de clair/obscur ft. billy kosmos]
[intro]
(déconnexion du metaverse)
[couplet]
va vivre, c’est une joke, la vie n’doit pas être si sérieuse
laisse l’ambiance du mystère être mystérieuse
j’parle le mort, j’parle le rêve, faire de l’art et m’échapper de la rat race
la langue est morte, c’est dead, j’suis sur la vague, j’ai un tas de waves
dans la bouteille, j’y plonge, dedans je fais quе me noyer
faire d’l’art, oui, mais ça n’payе pas les pâtes, les lardons, le loyer
tu peux t’en sortir avec un métier si t’es bricoleur
si tu l’es pas, reste silencieux, fais des bruits d’voleur
un jour, tu pourras me voler, je l’espère
j’suis humaniste. j’place mes espoirs dans l’espèce
big partouze, si dieu n’me récupère pas avant
sur les terres de satan, y’a pas un terrain qui est pas à vendre
je te l’ai dit, j’suis pas là, non j’suis pas d’ici, faut pas attendre
j’suis en guerre, ma vie part en fumée, j’combats la cendre
patron lui est dans le siège bien placé, écran 4k
regarde tous les épisodes qu’il y a de gangs de macaques
ta grand*mère, la femelle capucin, ton espèce, la mienne
l’espèce dans l’abus, a pas compris qu’on fait tous 1+1
bientôt, on brûle le champ de lys, cache l’anxiété dans la bêtise
finira pas aux champs*elysées, tant de biz
a faire et de bails à s’fournir, faut se nourrir de fer
de soleil vert en sachet, d’poudre vide. j’vais mourir de faire
pour le capital, pouvoir me payer de la nostalgie, du souvenir
j’souffre, comme le singe, faut que j’me connecte là*haut comme spoutnik
hey, j’suis laquais boy, j’suis sous*fifre
j’veux les chiffres du chômage, les sous d’fif mais j’étais à
deux doigts d’essayer l’crack, l’héro, pour mourir comme mes héros
j’vis déjà comme ils vivent à detroit, j’rate encore le dernier métro
les derniers seront les premiers le pire, c’est vraiment qu’on y croit
si on monte, c’est dans le grenier, vite grandi, mais pas grandi droit
peux même pas jouer au bandit (han) peux même pas jouer d’me sentir moi
je veux d’abord m’sentir prince et après m’sentir roi
moi, je suis comme un fou fêlé, mais vrai, donc j’arrête pas d’écrire
avec des idées d’un plan, de l’irréel qu’on ne peut pas décrire
man, je n’veux ni aller à soho ni à manhattan, faire comme doc manhattan
aller sur mars, ici, j’ai plus, j’ai pas d’attache
j’suis avec la masse à table, ma tête dans l’plateau d’argent
mon corps dans le sac de frappe me tape pour gratter l’or ou l’argent
mais t’sais la montagne est sacrée, on va skier tout en haut
c’qui est en tout bas est tout comme c’qui est tout en haut
homme vide de sens, innocence perdue, fragile comme une ville de sable
sad hill dicte sa loi aussi vrai que le pur évite le sale
et qui que tu sois, kicke comme moi, impressionne femme*vampire le soir
ma foi et ma vie sont sur un fil de soie
[outro]
(mais c’est cool, tant que je ris, je bois)
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