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photo d'thug - anton serra & goomar lyrics

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[paroles de “photo d’thug” feat. géabé]

[couplet 1 : géabé]
rien à battre de faire d’la vue, si ça gicle, j’flatule dans mon mic
aucune caillasse, quelques [caluches?] pour un grand beau mâle
apéro précoce pendant qu’des perroquets sortent
des pseudo gros tracks, on va pas pérorer, f*ck
j’ppé*ra’ mes doutes et l’envie d’me mettre au vert loin d’tout
en attendant qu’j’étouffe, microphone check, one*two (one*two)
j’ai passé l’âge des embrouilles à deux balles
on n’est plus à ce stade, la vie trop précieuse pour se parler mal
j’tté*gra’ des phases qui parlent à peu
souvent le crâne en vrac, jadis déphasé par la beuh
té*ma’, c’est v’là l’zbeul, et pas près d’changer, j’en ai peur
on a déchanté à c’t’heure, donc à ta santé, ma gueule
mes pensées s’entremêlent comme les racines d’un saule
il pleut des seaux, les pieds dans l’eau, à l’abri d’un aulne
l’esprit se sauve parmi les roselières, l’aube est claire
mais déjà le crépuscule pointe son museau dans le ciel
et l’enfer est annoncé, faire des gosses ou laisser faire (laisser faire)
un sacerdoce, en vrai, mes frères (en vrai)
tant qu’j’ai mes potes et des bières, j’suis prêt à sauter l’dessert
penser aux autres plutôt qu’à ma ganache
mets*toi ta kalash dans l’cavul (bien profond)
dans l’sourire de mes gavas, j’trouve salut
mes salauds font du sale ou, selon l’heure, se saoulent au salon
se laissent aller dans le silence rêvé du soleil de ceylan
jamais seuls, on s’réchauffe quand ça meule
au sourire d’quelques fêlés, pas les derniers pour lever les
rres*ve’, velléité d’s’élever
j’te parle pas de célébrité, ‘spèce de kéké
esprits ensuqués, chut, chut, suck
les zombies dans les rues, tous à l’affût d’un foot locker
fais pas tes yeux d’c*cker, la réalité en face
ça met souvent des coquards et ça r’met les idées en place
jetez*moi ces amarres et allons voguer
jeune demoiselle éprise de liberté, jeune homme en mal de vie chamarrée
j’aime et j’aimerai, tu aimeras, nous aimerons encore
tant qu’y’aura d’la sève sous l’orage avec des ronces dans l’cœur
à l’étroit dans c’corps en constante guerre, j’constate que
si les autres en face tapent fort, nous, faut qu’on tape mieux
même foncedar, bleus, mec, on a c’feu
toto et gé te font du sale comme dans un boulard schleu, bisou
[refrain : anton serra]
photo, photo d’thug
lunettes ray*ban, khabat, pogo d’grunge
nique ta mère à oil*p’ sur un poteau d’club
et quelques licenciements pour faute grave

[pont : anton serra]
mon corps est bel et bien ici mais, moi, j’suis plus trop là
comme mes ch’veux, j’me fais la belle en pétrolette sans pétrole hahn
ne m’parle plus, j’écoute plus, ça marche plus
faudra donner et redonner à mes pieds des coups d’cul

[couplet 2 : anton serra]
mon corps est bel et bien ici mais, moi, j’suis plus trop là (plus trop là)
s*e*2r*a, voilà le patronyme
l’erreur est humaine, la cruauté est animale
pourquoi les rennes nous ont fait croire qu’elles peuvent voler en laponie ?
“y’a le grand loup” disait le lapinou
une grosse équipe de rugby polonais sur polony
j’n’ai plus les mots, j’ai égaré mon latino
j’fais des fautes d’anglais, un peu comme montana tony
impossible n’est pas fourmi, impossible n’est pas abeille
colonies de colonels, on bat des cils, on bat des ailes
on boit des bières au miel en s’en battant les couilles
sur la prunelle de mes yeux, ça m’hérisse, chair de poule
je n’ai pas assez d’bras, mon père n’est pas un poulpe
l’intermittent du spectacle a sûrement pas un clou
c’est quoi cette matière, c’est d’la merde ? non, c’est kloug
j’n’ai jamais voté d’ma vie pour ces clowns
pour leur tacler leur grand*mère, j’aurais dû exceller au foot
mon libre arbitre, il dormait, il avait sifflé toutes les chouffes
quoi qu’ils disent, tu les emmerdes, ton avenir est dans tes couilles
le grand schtroumpf, il dit d’la merde, y’a que des tapettes qui l’écoutent
té*ma’ ces deux cous d’girafe, passages cloutés de girofle
on finira en surimi entre quatre planches de tilleul
on est tous le con d’quelqu’un, tu l’aimes pas mais tu l’imites
on s’passera de polémiques, pas vraiment besoin d’monter l’ton
comme un parrain devant son filleul, comme un pépé dans son fauteuil
le tarin d’daniel auteuil, la guitare d’un autre auteur
l’élégance d’un autre temps, une dimension d’une autre hauteur
pas vraiment besoin d’monter l’ton, pas assez d’doigts pour montrer l’con
[refrain : anton serra]
photo, photo d’thug
lunettes ray*ban, khabat, pogo d’grunge
nique ta mère à oil*p’ sur un poteau d’club
et quelques licenciements pour faute grave

[outro : anton serra]
allô docteur, j’ai cher mal à la tête, j’suis combien là*bas d’dans ?
dépêchez*vous, j’dois raccrocher, les autres n’ont pas l’temps
je vous le dis très calmement
vous n’auriez pas un p’tit calmant ? on s’fait niquer si largement
j’ai enfermé ma gentillesse au fond d’ma forteresse
pardon, excusez*moi, c’est grave, madame la doctoresse ?
bordel de dieu, j’l’entends d’ici chantonner sa prière
on vous envoie des gros zoubis, signé anton et gabriel

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