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freestyle couvre feu sur oklm radio - alpha wann lyrics

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[instrumentale 1]

[intro]
sisi, une main lave l’autre, u.m.l.a, mon frère
ouais, ouais, don dada
sisisi, eh
hun, hun

[couplet 1]
noyé par le loyer, faut pas que j’boive la t-sse, en plus, y’a la taxe , qui peut s’-sseoir à ma table ?
les jaloux maigrissent comme pendant l’ramadan, si je meurs demain, trop d’rappeurs à la dd-ss
dans leurs clips, y’a des pixels, ils font des sons pour les p’t-tes sœurs
ils ont des vélos, j’suis un gsx-r, je m’sens comme iverson quand il jouait aux sixers
cascader sur eux du lundi au dimanche, c’est permis
cascader sur eux du lundi au dimanche, c’est permis, hein
sur la route de la gloire, les gens se perdent vite
graillés par des vers comme le bois que mangent les termites
on veut quand même une rolex là où les manches se terminent
dieu merci, j’ai ves-qui vente de drogues et halls, les ambiances rock’n’roll
justice à deux vitesses, faudrait qu’on troque les rôles
donc je l’fais en taf taf, d’puis l’époque où les meufs portent des naf naf
posé dans l’4×4, longues vestes en re-cui, quatre quarts, j’veux l’salaire de quatre cadres cash, han
si cette pouf a ses règles alors mon zgeg goûte à ses lèvres
concurrence -ssez lég’, j’m’en fous, j’accélère à mon tour de jouer, youssou n’dour, axelle red
contenir le feu ? non, crache, khey, des généraux chez nous, pas d’chefs
comme l’a dit le wu : le cash règne ; sarko’ en 2005, j’ai un kärcher
philly flingue pull up comme douane volante, alph lauren braque vos rentes
essaie pas d’te mettre dans mes baskets, j’suis une grosse pointure, t’auras juste des air max trop grandes
y’a des restes de mcs bidons sous mes air spiridon, ça, c’est le flow hermès, louis vuitton, hun
pull up comme douane maritime, j’crois pas c’que j’entends, j’crois c’que voit ma rétine
toujours entouré, ouais, y’a framal et deen, j’suis pas à la chicha en train d’expulser les ronds
j’suis dans la cuisine en train de découper des rappeurs ou d’éplucher les comptes
2pac foncé ou biggy mince, ça, c’est juste le philly flingue, j’ai d’jà porté dix mille fringues, ouais
c’est pour les b-tches grosses et même les b-tches minces, hein
pour faire p-sser l’temps, j’ai pas trop d’solutions donc je découpe ce merdier comme un gros bûcheron
ouais, han, jayjay, le lama cuisinent le merdier comme joël robuchon, hein
ces rappeurs me font rire comme joey et chandler, phoebe, ross
mon fils fera du milly rock dans l’jardin en roulant dans sa mini rolls, han
tu sauras jamais ce que phaal philly pense, babylone te guette, il faut la vigilance
fumer l’calumet, braquer la diligence, la migidi maille, on veut les thunes comme la biggidi pac
on tourne en voiture, j’suis un migidi mac, va dire à ces putes : le phigiddy phaal vient et les éduque
des jeep et des lexus, intelligent, on croit qu’j’fais des études
faut qu’j’exécute, j’p-sse l’hiver dans l’autre hémisphère si l’été était dur
j’suis un professionnel comme bébél ou alain delon, quand t’as le liquide, tu rinces le monde
j’ai du nouveau linge, on revient de londres, la lumière dans le noir, j’suis le prince de l’ombre
u.m.l.a, u.m.l.a, sisi

[instrumentale 2]

[couplet 2]
si t’étais pas au charbon avec nous, viens pas au festin, pédé
mon peau d’pêche est doux comme les fesses d’un bébé, hein
ok, négro, ça, c’est dit
c’est pour ceux qui taffent, même ceux aux -ssedic
le monde ne m’suffit pas comme james bond
une paire de couilles, c’est mieux qu’un trèfle
quand j’arrive : triple sept, les pièces tombent
je mise entre le quinze et le treize, hein
rentre dans le jeu avec philly flingue et les autres
pepsi dans l’verre, toujours pas de coca’ dans l’nez
j’suis avec les frères, les mêmes, aucun kho n’a changé
j’arrondis le cercle, renoi, rien ne stoppe mon avancée
écoute ce rappeur dans tes écouteurs apple
et fais-le seulement si t’aimes le goût de la peuf
de la bolivienne, ça, c’est pour mes aborigènes
les derniers seront les premiers, on prendra vos richesses
écoute : f-ck les miettes, j’veux apprendre comment faire l’pain
le bruit et l’odeur, c’est nous, comme dans l’rer plein
mon pote asiatique m’a fabriqué une trottinette
avec son ancien moteur de r5, pour faire simple :
j’arrive à toute berzingue et s’il y en a un qui rappe
mieux que oim, paix à son âme, ma concurrence, c’est jay-z
est c’que j’aurais autant de blé à son âge ?
y’a moins de voleurs en prison qu’à l’-ssemblée nationale, okay

[pont 1]
crache les flammes, les fans savent, j’tombe rarement en panne
monsieur wann, tchiki, le flow d’un tech n9ne
crache les flammes, les fans savent, je tombe rarement en panne
monsieur wann, hein, hein, hein

[couplet 3]
j’ai capté qu’ils veulent pas qu’je monte
les quelques familles qui se partagent le monde investissent pour ne pas qu’je montre
des dessins de pharaons noirs dans les vestiges
j’ai les pieds sur terre mais l’haut niveau me donne des vertiges
cuir rouge, michael dans “beat it”, toujours les thunes d’abord, cette vie est vilaine
comme les putes à la porte de la villette, j’compte avec les deux mains, j’suis ambidextre
je suis celui qu’j’ai envie d’être et je mets l’ballon dans l’filet
je rêve d’une sainte-nitouche
et d’l’argent que les ssistes-gro de seine-saint-d’nis touchent, mon 7-5 nique tout, hein
la démocratie, c’est choisir celui qui t’la met, l’avenir est flou, j’comprends les jeunes qui vendent en p’t-tes lamelles
nous ? on veut finir comme diddy : riches, le président va rien faire pour toi, c’est l’argent qui dirige
don dada, cette vie est moche, mes anges et mes démons l’savent
j’écris pour remplir mes poches, pas pour vider mon sac

[refrain]
poing droit sur l’cœur, porte allégeance
tous les jours, des nouvelles perfs qui renforcent ma légende
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
plus l’oral, c’est pas un freestyle, c’est un tuto’ d’rap
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
ramène ton pote, j’vous maraboute et j’te gifle avec sa main
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
tchiki don dada, soyez patients, hein

[couplet 4]
tout pour la monnaie, l’t-tre je le laisse, f-ck les gros litiges
parle pas d’choses qu’existent pas : le père noël, la politique
comme un athlète, j’veux du gros liquide, performance haut niveau
en avant ; les t-ts-pe quittent le bep pour s’lancer dans la vente
toujours un temps d’avance, ils la fument avant d’la vendre
futur rich n-gga, f-ck les snitchs b-tch n-gga, j’suis comme larry hoover, big meech
ma cr-sseuse dans un uber, ta femme dans un heetch
rico, ace, boogie avec mitch, n-gga, paid in full, j’ai d’la famille en autriche
tu connais ce nègre flingue, j’mets des disquettes aux filles
depuis mes premières requins, j’fais kiffer des premières dauphines
pour moi, y’a un steak, j’espère qu’il s’ra -ssez tendre
si j’ai -ssez d’temps alors l’empire va s’étendre, sisi, renoi, l’empire va s’étendre
j’suis en doudoune de septembre à mai, en trench de mai à septembre

[pont 1]
crache les flammes, les fans savent, je tombe rarement en panne
monsieur wann, sisi, le flow d’un tech n9ne
crache les flammes, les fans savent, je tombe rarement en panne
monsieur wann, sisi, le flow d’un tech n9ne

[refrain]
poing droit sur l’cœur, porte allégeance
tous les jours, des nouvelles perfs qui renforcent ma légende
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
plus l’oral, c’est pas un freestyle, c’est un tuto’ d’rap
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
ramène ton pote, j’vous maraboute et j’te gifle avec sa main
j’te fais p-sser l’examen, j’te fais p-sser l’examen
tchiki don dada, soyez patients avant l’examen

[pont 2]
sisi, une main lave l’autre, mon frère
une main lave l’autre, u.m.l.a
exactement, u.m.l.a, pas “umla”, pas “oumla” : u.m.l.a
une main lave l’autre, bientôt en tournée un peu partout
c’est la fin, j’crois ; ils d’mandent : “quoi d’neuf ?”
ah, plus rien d’neuf, mon gars

[instrumentale 3]

[couplet 5]
ils d’mandent : “quoi d’neuf ?” et je réponds : “rien, à part des raps et des linges”
on a grandi, elle est loin l’époque où on grattait des oints-j, aucune discrimination
on les aime toutes donc on a fourré des grosses, on s’est tapé des minces
fais attention, fais doucement quand j’te p-sse un billet : mes doigts, c’est des pinces
crabe, calamars frits au p’t-t déj’ : respecte le chef, il faut taper des mains
la vie est triste, tour à tour ; un jour, la mort va appeler les miens
le défenseur défend et l’attaquant attaque quand le milieu relaye
faut faire des enfants, si je meurs, c’est pas grave et, à travers mon fils, je renais
ouais, tout va bien une fois l’argent payé, qualité supérieure, pas d’usinage
on m’appelle “flingue”, je vais pas m’enrayer, d’ailleurs f-ck philly flingue, je suis la fusillade
j’récupère les p-sses, pas les biz illégaux, sisi, frérot, ouais, je suis libéro
i speak espagnol : “give me dinero”, tes chances sont maigres si le vigile est gros
on a squatté des fêtes, claqué des fesses, j’reste -ssez fier, mon casier est vierge
que l’diable s’éloigne, j’ai jamais bibi, j’vois l’bout du tunnel, j’suis pas lady di
j’connais la pauvreté donc il faut qu’j’m’enrichisse, on va s’mettre royal comme henri vi
elles viennent faire son taf et puis j’appelle uber, faut qu’j’f-sse du bif comme isabelle huppert

[outro]
sisi, u.m.l.a, mon gars
une main lave l’autre en tournée

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